Clap Solidarité présente
Un voyage en quête de joie et de simplicité en Asie du Sud-Est, à travers le Cambodge et la Thaïlande.
Que notre joie demeure
Que notre joie demeure porte les voix de citoyens du monde au-delà des frontières.
Une onde de bon sens qui effleure les esprits, des individus qui remettent en question leur mode de vie. Des paroles de tous bords se mêlent pour redéfinir la paysannerie, l’éducation, et l’habitat autour d’une éthique commune.
Une marche en quête de joie et de simplicité qui, au fil des rencontres, nous amène à revoir notre vision du monde et à penser une société plus humaniste et solidaire.
Un Hommage à Jean Giono
Ce film est aussi un bel hommage discret à Jean Giono, auteur écrivain du XXe siecle qui a marqué notre périple avec son livre Que ma joie demeure, dont nous nous sommes inspirés pour notre long-métrage à travers des citations de notre livre de chevet.
« Il faut des milliards d’années pour soulever le fond des mers avec des millimètres de boue, refaire des montagnes de granit. Il ne faut que cent ans pour construire un châtaignier en dehors de la châtaigne et, quiconque à senti un jour de printemps sur les plateaux sauvages l’odeur amoureuse des fleurs de châtaigne comprendra combien ça compte de fleurir souvent »
Jean Giono, Que ma joie demeure, Editions Grasset, 1935
Matière à Pensée
La pluralité des rencontres avec différents citoyens au cours de notre voyage a nourri notre propos. Avec ces femmes et ces hommes, nous partageons des questionnements communs, inhérents aux problématiques qui découlent d’une société technocentrée et anthropocentrée. La remise en question de cette vision du monde injuste et inégalitaire est au centre de notre réflexion. En changeant de paradigme, ne trouverions-nous pas plus de cohérence dans nos actes ?
La dépendance au système technique est de plus en plus forte, rendant les micro-systèmes* minoritaires. Nous sommes allés à la rencontre de ceux qui cherchent à diriger leurs recherches vers l’autonomie et qui tentent de se détacher d’un modèle de moins en moins résilient.
Pour un bel hêtre, il faut des racines solides. Au fil des échanges ,il nous a semblé que les racines solides de l’être humain sont l’alimentation, l’habitation, l’éducation et la protection de notre lieu de vie.
*Le microsystème se réfère au milieu immédiat de l’individu (famille, école, groupe de pairs, quartier, etc.). Il se définit à travers les rôles occupés, les activités réalisées et les interrelations entre les acteurs qui y sont impliqués.
L’équipe du Clap Solidarité
Leo Thévenin
Vidéaste / Cinéaste / Cadreur / Monteur en Indépendant
Sylvain Callandreau-Dufresse
Vidéaste / Monteur / Musicien / Photographies