À Propos

J’ai toujours été curieux de découvertes et d’apprentissages, sensible à la nature à laquelle je fais partie, et dédié à la création sous toutes ses formes. 

Je me suis lancé dans la vidéo il y a maintenant 10 ans. Je filmais et montais quelques projets de vidéos de Parkour* que j’ai pratiqué pendant environ 7 ans. En 2013, je me suis introduit à la culture du cinéma à la suite de mon Bac scientifique, avec une première année de licence à l’université de Montpellier III. Ensuite j’ai intégré un BTS Audiovisuel option montage & post-production au LISA, de 2014 à 2016, j’ai donc acquis des compétences théoriques et analytique avant de m’axer d’avantage sur des compétences techniques et professionnelles.

*Parkour : pratique sportive consistant à apprendre à être pleinement maître de son corps dans une grande diversité de configurations, pour dépasser des obstacles de manière efficiente ou créative, en nature ou en ville, avec des techniques de sauts, de rebonds, de grimpe, ou encore d’accrobaties

Sous le surnom Ian Flowjah, j’ai passé plusieurs années à m’entraîner à mon rythme avec mon ami Matthieu, jusqu’à créer en 2014 l’Association Limoges Parkour (ALPK).

Mon but a été de promouvoir la pratique auprès des jeunes et de leurs parents, mais aussi de sensibiliser le public et les collectivitées territoriales à la vivacité de ses pratiquants.

Depuis lors, j’ai légué l’association, qui a pu accueillir beaucoup jeunes à la recherche de leur propre pouvoir corporel et mental.
Des démonstrations ont été réalisées lors de divers évènements culturels et sportifs à Limoges aux alentours.

Cette vidéo est une expérimentation, elle présente un mode de vie intégrant le parkour au quotidien doux et paisible que j’ai moné à Angoulême, lors de ma première année de BTS.

Au sein du BTS, j’ai expérimenté le travail d’équipe sur les projets d’études, mais aussi sur des projets annexes avec mes camarades de promotion (clips, documentaires, portraits…), et même sur des projets graphiques et avec des étudiant de l’ENJMIN à Angoulême en 3D.

À la suite de cela, certains projets ont pu trouver une continuité :

Au sein de l’association Studio Vauban, portée par Guillaume Simonet et Élise Barbier, nous avons commencé à filmer des sessions musicales en jam, diffusées sur RCF Charente, puis nous avons continué dans la production et la promotion de groupes de musique, aussi bien locaux qu’internationaux.

Ainsi, ceci nous a permis de nous perfectionner entre amis avec Kevin Simon, Leo Thévenin, Tom Gardais, Léon Pérena, Nathan Chia, et Sirine Ben Al-Razy, pour produire des groupes comme ALALA, DjelyBand, Lehmanns Brothers, et pour de nombreux autres artistes.

Vous pourrez retrouvez notre travail sur la chaîne Youtube de Studio Vauban, ou bien sur la page Facebook.

C’est en 2016, avec Kevin Simon et Leo Thévenin, que nous avons créé l’association Clap Solidarité qui avait pour but de soutenir l’essort des modes de vie alternatifs en promouvant les associations, artistes, artisants, citoyens, collectifs et événements ayant une éthique autour de l’écologie, sur des actions autour de la préservation et de la régénération d’écosystèmes, de la culture des cummuns et du vivre-ensemble.

L’objectif premier a été de concrétiser un rêve : un projet de voyage en Asie du Sud-Est pour le tournage de notre premier long-métrage documentaire autour de ces enjeux. À la découverte des modes de vie alternatifs, à travers différents témoignages et souvenirs de nos rencontres, nous abordons des thématiques comme l’éducation, la permaculture, les changements dans la société moderne, nous questionnons notre place dans ces territoires, la place de la forêt et la nature des êtres humains et de leur habitats.

Ainsi, nous avons également mis en place un échange franco-cambodgien avec l’association Kep Children, mais aussi avec les différents acteurs par lesquels nous passerions et qui seraient ou non présents dans notre film, avec des collaborations, un mois d’animation et un cinéma itinérant avec les films de Jaques Perrin et de Yann Arthus-Bertrand qui nous avaient soutenus dans notre projet et naturellement donné leur accord.

Pour mettre en oeuvre ce gros projet, il a fallut rassembler les ressources nécessaires à ce projet, à savoir, un matériel de tournage minimaliste, l’intendance sur place et les billets d’avions de bus, de bateau et de trains, à l’aide d’un financement participatif Ulule (et familial il faut le préciser !), de l’aide de la bourse de la fondation des Tricoles (sous l’égide de la fondation de France), et du CIJ d’Angoulême qui nous avait également attribué une bourse.

L’association Clap Solidarité présente

Que notre joie demeure, un film sur les alternatives aux modes de vie en Asie du Sud-Est.

C’est le 6 Janvier 2017 que nous sommes partis de l’aéroport de Paris CDG pour Phnom Penh, la capitale du Cambodge.

Ce voyage qu’on a écourté à 4 mois plutôt que 7 mois prévus, a été fondateur, il m’a appris par l’expérience le tournage d’un long-métrage documentaire. Sur ce tournage j’ai été essentiellement opérateur son, mais aussi parfois à la caméra. Leo était le chef opérateur et Kevin nous secondait tous deux, nous échangions les rôles régulièrement.

Rentrés début Mai, nous avons passé le restant de l’année à retrouver de nouveaux financements pour la suite du film : sa post-production.

Commencée à la fin de l’année 2017, et terminée fin 2019, c’est deux ans de travail passionné et bénévole qui nous a formé sur toute la chaîne de la post-production. Nous avons tenu à rémunérer les artistes qui ont composé les musiques pour le film ainsi que les traducteurs quand il y en a eu besoin. J’ai pu collaborer étroitement avec Kevin Simon sur le montage image et son, ainsi que sur l’étalonnage, je me suis occupé de l’habillage, titrage, sous-titrage (traductions Fr-En) ainsi que des bruitages et design sonore avec Achille Moinet, merci encore à Guillaume Simonet, qui était là pour l’intégralité du mixage du film.

La première projection s’est effectuée au Cambodge, à Siem Reap (proche des fameux temples d’Angkor Wat), avec l’Alliance Française qui a projeté le film à un groupe de professeurs en langues étrangères venant de toute l’Asie du Sud-Est.

L’avant-première officielle française à eu lieu à l’Espace Franquin d’Angoulême le 22 Février 2020, juste avant le premier confinement, avec près de 130 personnes qui sont venues pour l’occasion.

Ensuite nous avons adapté notre modèle de diffusion à la situation de crise que nous traversions, donc nous avons décidé de rendre ce film libre d’accès et gratuit sur le site ImagoTv.fr, qui diffuse du contenu varié dans notre dynamique de partage et d’alternatives.

Avant-première à Angoulême

L’avant-première officielle française à eu lieu à l’Espace Franquin d’Angoulême le 22 Février 2020, juste avant le premier confinement, avec près de 130 personnes qui sont venues pour l’occasion.

Avant-première au Cambodge

La première projection s’est effectuée au Cambodge, à Siem Reap (proche des fameux temples d’Angkor Wat), avec l’Alliance Française qui a projeté le film à un groupe de professeurs en langues étrangères venant de toute l’Asie du Sud-Est.

En tant que vidéaste, réalisateur, monteur, et musicien, je propose mes services aux artistes et artisans en tout genre, mais aussi aux entreprises, associations, collectivités ayant un projet autour de la communication et de la promotion sur un lieu, un évènement, un projet, mais aussi à ceux qui voudraient raconter des histoires pouvant aborder diverses thématiques.

Je peux aussi bien travailler sur toute la chaîne de post-production mais aussi avec l’image, l’éclairage, ou bien encore la prise de son sur des installations d’interview ou de scène, je ne suis pas spécialisé mais je sais assister et proposer, j’ai d’ailleurs moi-même enregistré une grande partie des sons et des bruitages de mon film Que notre joie demeure.

Je suis aussi aujourd’hui installé en nord Ardèche, à la recherche de nouvelles équipes de tournage et de production pour pouvoir créer des projets avec d’avantage de ressources humainses et financières.

Ils m’ont fait confiance